Le 10 août, veille de la fête, la nuit et le petit matin largement arrosés posaient la question de l'annulation des festivités du 11, jour tant attendu et préparé de longue date par divers groupes d'amis de talents divers et variés.
A la fin de la belle messe spécifique de la Fête Basque, c'est à dire haute en musique, chants, danses d'honneur et avec une assemblée très nombreuse (« comme tous les dimanches !...» a dit Monsieur le Curé), l'abbé Jean-Marc, soucieux de chaque participant à cette messe, s'est autorisé à demander à Monsieur le Maire si la fête allait avoir lieu ?
« Oui, tout se fera ! ». Et l'optimisme de Monsieur Kotte Ecenaro a été récompensé, un temps plutôt agréable s'est levé pour un bel après-midi et a tenu suffisamment pour ne rien gâcher de ce rendez-vous annuel.
Après les chants religieux, les chants folkloriques et festifs pour la cavalcade largement suivie autour des chars qui demandent un long et patient travail.
La journée s'achève au stade Ondarraitz, chacun à sa guise, en pause (nécessaire après la cavalcade !) ou en continuant à chanter et danser et aussi en se restaurant.
Et grand feu d'artifice, bien sûr !