Une voix pour entonner un chant auquel toute l’assemblée se joindra...
Une voix
Une voix ? Oui, une voix juste, timbrée, posée, bien adaptée à l’action liturgique.
Une voix pour lancer un refrain bref que toute l’assemblée reprendra d’autant mieux qu’il aura d’abord été clairement et joliment lancé.
Une voix pour entonner un chant auquel toute l’assemblée se joindra.
Une voix pour chanter un couplet de telle manière que l’assemblée ait envie de répondre par le refrain.
Et voici l’animateur devenu chantre. Par sa voix, il invite l’assemblée à chanter.
Une économie de gestes
Le deuxième principe d’animation, dont l’application est urgente, est l’économie de gestes.
La célébration est ponctuée de brèves interventions chantées.
Elles structurent la liturgie et fonctionnent d’elles-mêmes sans avoir besoin d’un seul geste, même de départ : c’est le cas, non seulement des « Amen, » « Et avec votre esprit » ou « Alléluia », mais aussi des refrains de préparation pénitentielle, de psaumes ou de prière universelle.