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La Paroisse
Réflexion pour le 4e dimanche de Carême
Réflexion pour le 4e dimanche de Carême

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Réflexion pour le 4e dimanche de Carême

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« Pardonne-nous Seigneur ! »

 

Voici la prière pour l'Ukraine, composée il y a 3 ans déjà, par l'archevêque de Naples, Mgr Domenico Battaglia

 

« Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, aie pitié de nous, pécheurs !

Seigneur Jésus, né sous les bombes de Kiev, aie pitié de nous !

Seigneur Jésus, qui est mort dans les bras de sa mère dans un bunker de Kharkiv, aie pitié de nous !

Seigneur Jésus, envoyé au front à vingt ans, aie pitié de nous !

Seigneur Jésus, qui voit encore des mains armées à l'ombre de ta croix, aie pitié de nous !

Pardonne-nous, Seigneur,   si, non contents des clous avec lesquels nous avons percé ta main,

nous continuons à boire le sang des morts déchirés par les armes.

Pardonne-nous, Seigneur, si ces mains, que tu as créées pour protéger, sont devenues des instruments de mort.

Pardonne-nous, Seigneur, si nous continuons à tuer notre frère, si nous continuons comme Caïn à enlever des pierres de notre champ pour tuer Abel.

Pardonne-nous, Seigneur, si nous continuons à justifier la cruauté par notre fatigue, si par notre douleur nous légitimons la cruauté de nos actes.

Pardonne-nous la guerre, Seigneur !

 

Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, nous t'implorons ! Arrête la main de Caïn !

Éclaire notre conscience, que ce ne soit pas notre volonté qui soit faite, ne nous abandonne pas à nos propres actions !

Arrête-nous, Seigneur, arrête-nous !

Et quand tu auras arrêté la main de Caïn, occupe-toi de lui aussi. C'est notre frère !

O Seigneur, arrête la violence !

Arrête-nous, Seigneur ! »      

 

 

Un Dieu qui relÈve… 

 

La parabole du fils prodigue, appelée aussi du fils perdu et retrouvé, parfois du père prodigue, est une des plus célèbres de l’évangile selon Luc ( 15, 11-32 ).

En fait, l’histoire met en parallèle le fils prodigue, qui dilapide son héritage et ne respecte guère les commandements et le frère aîné plus raisonnable et respectueux des règles.

Faut-il se réjouir de l’accueil fait au fils prodigue ou en être scandalisé tel le frère aîné ?

Notre réponse dépend peut-être du frère auquel nous nous identifions… à moins que nous soyons à la fois l’un et l’autre !                          

P. Rémi GALVAN 

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