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Ouverture de l'Année Sainte 2025 à la cathédrale de Bayonne
Ouverture de l'Année Sainte 2025 à la cathédrale de Bayonne

| ND de la Bidassoa 369 mots

Ouverture de l'Année Sainte 2025 à la cathédrale de Bayonne

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Thème de l'Année Sainte 

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Extraits du site : https://eglise.catholique.fr/jubile-2025-pelerins-desperance/557365-lettre-des-eveques-de-france-aux-pretres-diacres-personnes-consacrees-laics-en-mission-ecclesiale-et-au-peuple-de-dieu-a-loccasion-du-jubile-et-de-lanniversaire-du-concile-de-nice/

Vers un jubilé de l’Espérance

1. Le Jobel – la trompette du jubilé – va bientôt retentir. Le Pape François, fidèle à la tradition de l’Église enracinée dans les prescriptions bibliques , a déclaré 2025 « année sainte ». Il nous encourage à être « Pèlerins de l’Espérance ». Il nous invite à venir à Rome prier dans les basiliques construites sur le tombeau des Apôtres Pierre et Paul, pour y renouveler notre foi et notre joie de suivre le Seigneur Jésus. À Rome ou ailleurs, le Saint Père appelle à profiter de ce jubilé pour marcher d’un pas plus décidé. 

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il y a un lien entre l’Espérance à laquelle invite le jubilé et le concile de Nicée

9. Ce n’est pas une coïncidence anecdotique : il y a un lien entre l’Espérance à laquelle invite le jubilé et le concile de Nicée. En effet, la question qui agitait l’Église en l’an 325, au moment du concile, garde une profonde actualité. Quelle était-elle ? Il s’agissait de préciser l’identité de Jésus. Au IVème siècle, par décision de l’empereur Constantin, le christianisme était devenu une religion autorisée. Il apparaît alors que les manières de comprendre qui est vraiment Jésus étaient différentes. Certains chrétiens, notamment sous l’influence d’Arius, prêtre d’Alexandrie en Égypte, niaient sa divinité. Que Dieu « prenne chair », se fasse homme, ne leur semblait pas digne de l’image qu’ils se faisaient de Dieu. Ils voulaient préserver l’absolue transcendance de Dieu, au prix d’une méconnaissance de Jésus lui-même. 

 

10. Les évêques réunis à Nicée ont alors affirmé la « consubstantialité » de Jésus-Christ avec le Père. Ce qui se traduit, dans la profession de foi dite de Nicée-Constantinople, par cette formule que nous récitons sans peut-être en mesurer suffisamment la portée : « Il est Dieu né de Dieu, lumière née de la lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu. Engendré non pas créé, consubstantiel au Père (…) ». La formule « consubstantiel au Père » a été choisie pour dire la relation de Jésus au Père . 

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