"En cette année de la miséricorde, nous pensons en premier lieu aux victimes de ces agissements criminels, aux enfants qui ont été agressés et souillés.
Nous pensons également à toutes les autres victimes et à leurs familles, celles qui n’ont pas été entendues quand les faits se sont produits, qui n’ont pas reçu de l’Eglise des demandes de pardon, ni bénéficié d’un soutien pour se reconstruire..."